Ch'eza Street Battle est un événement 100% krump en collaboration avec EBS, championnat du monde krump. Les participant·es vont devoir s’affronter pour p (…)
Cette année, le Théâtre National Wallonie-Bruxelles et la Maison de la Culture de Tournai (Province de Hainaut) proposent d’aborder ensemble l’ouverture de saison.
Construit à partir de fragments du réel, Stadium orchestre un vis-à-vis improbable et se livre à une exploration de classe qui pulvérise les clichés pour honorer la ferveur des passionné·es du stade.
Léonard Berthet-Rivière et Muriel Legrand revisitent le vaudeville, slaloment entre les didascalies et surfent sur l’absurdité dans une lecture joyeuse et endiablée.
Renault 12 est l’épopée intime d’un fils endeuillé, une expérience cinématographique à partir d’un matériau documentaire : le rapatriement de la défunte mère du réalisateur depuis la France, vers Tanger.
Avec une émotion étrange, moitié d’horreur et moitié de tendresse, Eline Schumacher décide de réunir la bande des six meilleurs amis de son père à l’occasion de son enterrement fictif.
Tissant un fil qui les lie, et relie Bruxelles à Marseille où ils vivent respectivement, Clément et Guillaume font de leur gémellité un territoire à découvrir.
Alessandro et Mauro impriment les gestes et déploient leurs trajectoires, de Marianne Faithfull au Boléro de Béjart, des années de plomb italiennes à Pier Paolo Pasolini, des plumes aux perruques. Sans oublier les tutus.
Aurore Fattier s’empare du classique d’Ibsen et en propose une transposition contemporaine doublée d’une mise en abyme de l’œuvre.
Pour des raisons indépendantes de notre volonté, le spectacle Le Bonheur de Tatiana Frolova est annulé.
Incarnation du théâtre libre en Russie, le KnAM, entre geste artistique et parole documentaire, à la croisée des images, des destins et des témoignages, met en lumière la réalité complexe de la Russie contemporaine, créant des œuvres politiques pleines d'humanité.
Rendez-vous automnal des défenseur·ses des droits humains, des inventeur·ices de possibles, le Festival des Libertés propose une multitude de documentaires, de débats, de spectacles, d’expositions et de concerts.
Dans un quartier populaire de Casablanca, Abdellah, adolescent homosexuel, essaie de se construire au sein d’une famille nombreuse, entre une mère autoritaire et un frère aîné qu’il aime passionnément.
Face aux déflagrations de l’homophobie, Hakim Bouacha joue de l’autofiction documentée pour mieux conjuguer échelle individuelle et échelle collective – auscultation d’une société dépeinte comme viscéralement homophobe.
Scènes nouvelles contribue à éclairer et partager ce qui irrigue le travail, fort et singulier, des artistes belges francophones.
Bien loin de ne proposer qu’une fiction troublante, Christiane Jatahy offre une splendide exploration cinématographique et documentaire dans la région de Chapada Diamantina.
Dans une approche humaine, Gaia Saitta, invite des spectateur·ices à l’accompagner, donnant ainsi corps à l’histoire, aux émotions d’Irina.
Les Lundis en coulisse coordonnés par Silvia Berutti-Ronelt mettent en évidence la richesse des écritures dramatiques actuelles et inédites en Belgique.
Un père et son fils, deux mères et leurs filles : entre l'Allemagne et la Turquie, six personnages se cherchent, se perdent, se réconcilient. Quête d'un monde qui se joue des frontières et relie les destins.
Dans cette fable féroce, entre vaudeville et mythologie, la famille nucléaire est l’empire de la transgression du tabou et de l’hypocrisie absolue.
Tout à la fois acteur·ices et narrateur·ices, les trois personnages habitent cette comédie grinçante qu’il·els peuplent de visions et d’archétypes.
Dans une esthétique dépouillée, Samantha van Wissen commente, paraphrase, documente et danse Giselle, le chef d’œuvre du ballet classique.
Marie-Aurore D’Awans & Pauline Beugnies inscrivent le théâtre documenté dans une totalité plus vaste que la simple reconstitution des faits. Elles réhumanisent le fait divers. Sous d’autres horizons, elles nous réhumanisent.
Sabordage éclaire, non sans humour, les mécanismes humains qui poussent les sociétés à se laisser aveugler par les mirages de la croissance et de la surconsommation.
Dive in est une histoire de corps, de performance, un mélange de processus des plus sombres aux plus brillants.
En 2015, le musicien irakien Hussein Rassim a connu le sort violent et chaotique de milliers de migrant·es. Réfugié depuis en Belgique, il décide de reprendre la route en compagnie de sa compagne enceinte, ici en sens inverse.
Ce rendez-vous de cinq jours est d’ores et déjà à noter dans les agendas pour découvrir des propositions originales, créatives et audacieuses. Pour tous les goûts et tous les âges.
Dans un décor d’atelier ou de studio de cinéma, Cyril Teste propose un dispositif scénique, sophistiqué et hybride, qui mêle poétiquement le jeu à des plans séquences projetés.
SIMPLE fait sautiller trois grands gamins qui, allègrement, enchaînent les gestes les plus improbables, ravis de susciter l’intérêt et les rires du public.
Le film de Nuri Bilge Ceylan, Palme d'or à Cannes, fascine par sa justesse de regard et son intense beauté.
Angélica Liddell révèle, par couches successives d’artifices formels et de chairs, un espace halluciné d’une beauté extrême, éclaboussé de passion et de mort.
Dans cette nouvelle création, Steven Cohen reçoit dans son Boudoir, un lieu domestique où se reconfigurent les liens entre intimité et politique.
Le requiem bouleversant que propose Steven Cohen s’aventure aux confins du deuil pour s’offrir à son amour perdu en guise de sépulture vivante.
Dans un décor post-apocalyptique la pulsation s’empare des danseur·ses pour rendre justice à la colère, à la révolte.
L’après-midi d’un foehn Version 1 convie petits et grands à l’émerveillement, devant ce qui est impalpable et brillamment dompté, comme s’il s’agissait de morceaux de matière. L’air n’est-il pas la véritable matière de la vie ?
Ce tableau intemporel de l’adolescence, aussi vénéneuse que rêveuse, au romantisme saturé en une forme de huis clos flamboyant, éblouit encore.
Une mise en abyme et un portrait sensible de la poétesse Sylvia Plath, enrichis par la sublime mélancolie des compositions musicales de l’autrice-compositrice belge An Pierlé.
Soudain on a envie de déambuler en stations, de chanter à tue-tête et danser jusqu’à la pointe de la musique instrumentale et de l’électroacoustique.
Soudain on a envie de catcher, de se faire masser, de sonder d’autres façons de dire les mots et les corps.
Inspirée de faits réels, Emilienne Flagothier réécrit ces histoires quotidiennes de violences faites aux femmes. L’artiste expérimente en créant un espace où les rapports s’inversent.
Un espace vide, une porte. Quatre personnages. I·Els semblent coincé·es, sans véritablement savoir pourquoi, ni comment s’évader.
Il est un état de la société actuelle, une jauge du théâtre des testicules, grotesque, avec une question : jusqu’où peuvent aller les hommes hideux dans le processus de déshumanisation dans la sphère intime ?
Durant six mois, 258 élèves issus de différents milieux sociaux de Bruxelles font une immersion dans le monde de l'opéra.
Pipo Delbono compose une symphonie onirique et florale au-dessus de laquelle plane l’esprit de Bobo. Souvenirs, vies vécues, amour, beauté et politique tiennent dans le même bouquet.
WEG fonctionne sur le dérèglement progressif de la phrase chorégraphique de chaque danseur·se aboutissant à une cacophonie de gestes et d’attitudes, décomplexée.
Nouveau rendez-vous annuel, À la scène comme à la ville ouvre les scènes et les salles du Théâtre National aux citoyen·nes pour trois jours festifs et participatifs.
Dans une approche humaine, Gaia Saitta, invite des spectateur·ices à l’accompagner, donnant ainsi corps à l’histoire, aux émotions d’Irina.
ANGELA (a strange loop) propose une plongée dans la question phénoménologique de l’identité et de la conscience. Qu’est-ce qui fait qu’Angela est Angela ?
Melilla, enclave espagnole au Maroc, est une des seules frontières terrestres entre le continent Africain et l'Europe.
Léa Drouet fait peu à peu apparaître sans jamais le montrer directement, ce point absent de l’enfant qui insiste tout en échappant.
Ce dernier temps de l'école expérimentale portée par Léa Drouet et Camille Louis sera l’occasion de regarder ce que cette démarche a tenté de rejouer-déjouer de l’école telle qu’elle se fait.
La Renault 12 est un modèle de véhicule extrêmement réputé. Il y a, sous un titre qui fleure bon la nostalgie, la promesse d’une conférence inédite et sensible qui combine toutes les facettes du travail de Mohamed El Khatib.
Avec cette nouvelle création, c’est par le biais de la pop qu’Anne Teresa De Keersmaeker explore le lien entre la musique et la danse. La pop teste les frontières de ce que peut être un art de la simplicité.
C'est entouré de l'équipe du Théâtre National que Pierre Thys, Directeur général et artistique, présentera la programmation complète et les grands axes de la saison 2023·2024.
