Présentation
Saison 2023·2024
C'est entouré de l'équipe du Théâtre National que Pierre Thys, Directeur général et artistique, présentera la programmation complète et les grands axes de la saison 2023·2024.
C'est entouré de l'équipe du Théâtre National que Pierre Thys, Directeur général et artistique, présentera la programmation complète et les grands axes de la saison 2023·2024.
Ch'eza Street Battle est un événement 100% krump en collaboration avec EBS, championnat du monde krump.
Cette année, le Centre Culturel de Bertrix (Province du Luxembourg) et le Théâtre National Wallonie-Bruxelles proposent d’aborder ensemble l’ouverture de saison.
Amener les publics à être acteur·ices d'une culture en commun(s) qui se crée ici et maintenant.
De quoi la mort de Pasolini est-elle le nom ? Dans cette pièce aux allures de répétition générale, quatre interprètes s’inspirent de cet événement tragique du passé pour nous tendre un miroir sur notre époque.
La compagnie Via Katlehong porte haut la « pantsula », danse populaire ultra virtuose originaire des ghettos noirs sud-africains.
Enflammée, rieuse, tragédienne lyrique et bouillonnante, Hanane Hajj Ali, qui a vu son pays déchiré, nous offre une performance maitrisée de bout en bout en un formidable geste libératoire. Un moment d’exception.
Avec La Décision, Vincent Hennebicq et Marine Horbaczewski offrent littéralement le plateau à l’avenir : une dizaine d’enfants nous emmène dans une mémorable épopée postapocalyptique.
Politique et artistique, festif et subversif, le Festival des Libertés mobilise toutes les formes d’expression pour se faire le témoin de la situation des droits et libertés, inciter à la résistance et promouvoir la solidarité.
Scènes nouvelles contribue à éclairer et partager ce qui irrigue le travail, fort et singulier, des artistes belges francophones.
Partant de la nécessité de creuser son histoire personnelle d’enfant adoptée illégalement, Consolate nous emmène au cœur de son monde intime à l’aide de sons, d’odeurs, d’images.
En imprimant sur pellicule leur quotidien reclus du monde, une famille se raconte, documente leurs actes et leurs pensées. Mais sous le vernis de ces instants fugaces, un drame se profile.
Avec un groupe de skateur·ses et de danseur·ses toutes générations confondues, la chorégraphe explore la vitesse et l’énergie du mouvement sur roues dans un décor époustouflant.
Dans un basculement régulier entre casser et articuler, cinq performeur·ses dont un musicien s’accordent et se relaient, entrelaçant un jeu imparfait aux règles sans cesse redistribuées.
Le premier roman de Virginie Jortay adapté pour la scène se découpe en une trentaine de brefs tableaux, autant de séquences flash qui s’enchaînent comme on tourne avec frénésie les pages d’un livre palpitant.
Cette performance hyper physique convoque sur le plateau douze interprètes de l’extrême pour un morceau hypnotique qui se répète à un rythme lancinant. La salle se fait théâtre, arène, gymnase.
Dans cette pièce de l’« ultime », nous explorons ensemble les pistes alternatives, en partant d’un constat positif : s’il n’y a pas de solution, c’est qu’il n’y a pas de problème.
Composé d’une cinquantaine d’artistes, danseur·ses et musicien·nes confondu·es, le célèbre ballet Sukhishvili préserve les coutumes et le folklore de la danse géorgienne depuis 75 ans. C’est toute l’histoire de la Géorgie qui se déroule sur scène.
Milo Rau exhibe les contradictions de notre époque, soulignant la coexistence du luxe et du supplice, l’obsession de la normalisation et le goût du scandale petit-bourgeois.
Cinq jours pour découvrir des propositions originales, créatives et audacieuses. Pour tous les goûts et tous les âges.
À l’heure où l’on assiste à un certain effritement du lien social, Péplum médiéval est une échappée salutaire qui mélange les genres, fédérant dans son sillon une communauté sensible.
Sur un thème vieux comme l’amour, celui de la rupture et de l’effondrement que celle-ci charrie dans son sillon, la virtuose bande d’interprètes survole une avalanche de déséquilibres.
Ce tourbillon loufoque et érudit nous entraîne, en trois courts épisodes, dans l’enchaînement des drames d’une famille de vainqueur·es qui échappe à sa malédiction.
Marion Siéfert aime trouver le théâtre là où on ne l’attend pas. Pour raconter nos existences de plus en plus virtuelles, elle crée un monde vertigineux où il est difficile de distinguer le réel de la fiction.
Le premier opus du Raoul Collectif tente de faire la lumière sur ce que pourraient signifier des destins d’individus en lutte radicale avec leurs milieux respectifs, parfois avec la société tout entière.
Un groupe de chroniqueurs radio se réunit autour d’un projet commun : dénicher de la beauté. Le Raoul Collectif nous propose un spectacle ludique et libératoire.
Tatiana Frolova et sa troupe ont quitté leur pays, la Russie, au lendemain du déclenchement de la guerre en Ukraine. La compagnie tente de recoller les morceaux de cette existence qui a volé en éclats.
Un groupe se retrouve avec l’intention de célébrer quelque chose. Petit à petit, l’irrationnel s’invite et la chose s’invente en même temps qu’elle se cherche. La musique prend des détours. La cérémonie dérape et se déploie.
Tom se rend, aux funérailles de son amant au fin fond de la campagne. Il y rencontre la mère de ce dernier, qui ignore tout de l’orientation sexuelle de son fils défunt. Un théâtre de boue et de sang qui souille et magnifie les corps.
Une danse qui convoque nos souvenirs de rituels carnavalesques, dérèglant au passage l’ordre apparent des choses et nos trop confortables habitudes de perception.
Rébecca Chaillon poursuit sa quête autour de la représentation des corps, de la sexualité, du sentiment du désir, de l’appétit et du dégoût. Un poème performatif et collectif.
Hendrickx Ntela dénonce l’aveuglement des citoyen·nes, nourri par un système générateur de désirs inatteignables. Cinq danseur·ses font face à une même histoire dans différents endroits du monde.
Le rideau s’ouvre sur la finale d’une émission où la candidate Faust, sur le point de perdre, fait appel au diable pour reprendre pied. Le pacte qu’elle signe va lui permettre une ascension fulgurante.
Dans ce seule en scène au style unique, Laurène Marx raconte son histoire de femme trans. Elle nous fait part des questionnements que la société impose au parcours des personnes qui tentent de fuir la binarité.
Un spectacle tissé de poésie engagée qui raconte les chemins que l’on emprunte pour échapper à la violence. Celle qui pousse à se recroqueviller, à prendre la route, à écouter les rides de nos corps tourmentés.
Une « réduction » de l’œuvre de Bizet écrite sur mesure pour une interprète seule : Rosemary Standley. Malgré l’issue tragique du récit, il y aura de la joie et de l’émerveillement.
Pour donner à voir et à entendre des histoires vraies ou imaginées qui toutes racontent notre monde.
De la Palestine au Liban, la cinéaste et metteuse en scène Christiane Jatahy a recueilli les témoignages de réfugié·es sous le prisme d’Homère et de son Odyssée.
Un petit groupe se retrouve seul dans un vide immense et inconnu. S’efforçant de vivre ensemble dans des conditions difficiles, les personnages s’exposent à des questions d’inclusion, d’identité et d’intersectionnalité.
Dans l’Italie de la fin des années 1990, Olga, 40 ans et deux enfants, est une mère et une épouse dévouée. Un beau jour, son mari la quitte. Tout est à reconstruire, à commencer par les mots.
La techno, le cinéma, le théâtre, la littérature et les arts visuels se mêlent pour former un monde à part entière. Ici, le public va et vient à sa guise.
Dans un corps usé qui altère jour après jour la vitalité, comment se vit l’amour ? Adepte de l’art documentaire, le metteur en scène Mohamed El Khatib continue d’habiter la scène par l’intime.