Skip to main content
Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Press review & photo

Occupation du Théâtre National

© Théâtre National

"Pour organiser tout ça, l’occupation s’est structurée en groupes dédiés à la communication, la logistique, la programmation, etc. Chaque jour, une cinquantaine de gens se côtoient. Pas de leader ici, le fonctionnement est parfaitement horizontal, chacun se nourrissant des idées des autres pour ensuite passer le relais."
Catherine Makereel, Théâtre National, Monnaie: l’occupation qui déménage (photos), dans Le Soir, le 04.04.2021

 

"Artistes ou sans-papiers, souligne encore Ahmed, notre combat commun se traduit au niveau des actions. Chacun adopte sa propre stratégie. On se réunit au point de l’estuaire pour mener la lutte."
Marie Baudet, Occupation du Théâtre national : utopies, premières volontés et effets secondaires, dans La Libre Belgique, le 02.04.2021

 

"Voir l’intelligence collective à l’œuvre, c’est magnifique! Quand ça marche, c’est drôlement bon! On parvient à régler toutes sortes de questions épineuses par petits groupes, jusqu’à ce qu’une pensée commune se dégage assez naturellement. C’est vraiment réjouissant, même si ça ne marche pas à tous les coups."
Aliénor Debrocq, "On pensait qu’en Belgique on ne se soulève pas, eh bien si!", dans L'Echo, le 26.03.2021

 

David Courrier, Mont des Arts – Occupons oui ! Mais pour quoi faire ?, sur BX1, le 25.03.2021

 

JT, Théâtre National : Occupation pacifique mais déterminée, sur RTBF, le 22.03.2021

 

"Ces artistes « sans étiquette » appellent les autres collectifs culturels, comme « Still Standing for Culture », à les rejoindre mais c’est également une initiative « intersectorielle » qui vise tous les travailleurs à l’arrêt forcé en raison des mesures décidées par le gouvernement dans la lutte contre la propagation du Covid-19, ajoute le directeur de l’institution, Fabrice Murgia. Ce dernier, à l’étranger pour des raisons professionnelles, soutient l’initiative. « Le public est évidemment le bienvenu, car c’est aussi pour lui que l’on fait ça », encourage Denis Laujol."
«Carnaval sauvage», occupation du Théâtre National…: les photos des rassemblements de ce samedi, dans Le Soir, le 21.03.2021

 

"Plusieurs dizaines d'artistes occupent depuis hier soir le Théâtre national dans le centre de Bruxelles. Ils emboitent le pas au mouvement français Occupation Odéon. Un mouvement qui dénonce les mesures sanitaires et leurs conséquences dans le secteur de la culture."
Coronavirus: le Théâtre National occupé pour protester contre la fermeture, sur RTL, le 20.03.2021

 

Le Théâtre National est occupé, dans L'Avenir, le 20.03.2021

 

"On demande aux autorités plus de cohérence dans les priorités et plus de discernement concernant le protocole sanitaire", conclut Fabrice Murgia, qui s'étonne de pouvoir déambuler dans des rues commerçantes bondées alors que les théâtres, cinémas et autres salles de spectacle restent désespérément fermés."
Le Théâtre National occupé pour protester contre une culture tombée dans l'oubli, dans la DH, le 20.03.2021

 

"Le but du jeu, c’est de réclamer la réouverture des lieux culturels et de rassemblements, commente Denis Laujol, metteur en scène et co-organisateur de l’action. Parce que pour nous, c’est aussi très important de parler de l’Horeca, de l’événementiel et de tous les lieux qui sont fermés depuis plus d’un an maintenant."
M.-L.M., Occupation du Théâtre national : "Il faut peut-être reprendre nos outils de travail à ceux qui nous les ont confisqués", dans RTBF, le 19.03.2021

 

"Cette occupation durera tant que nos revendications ne seront pas entendues et tant que les lieux de rassemblement ne seront pas rendus à leur occupant naturel : le public", préviennent encore les occupants."
Stéphanie Bocart, Le Théâtre National est occupé : "Nous refusons de nous soumettre à des choix ineptes", dans La Libre Belgique, le 19.03.2021

 

« On voudrait susciter la réflexion, de nouvelles synergies, des alternatives concrètes, affirme Denis Laujol. Que d’autres secteurs puissent nous rejoindre, par exemple l’horeca, l’événementiel ou encore, le collectif “La santé en lutte”. On ne veut pas s’enfermer dans une tour d’ivoire mais au contraire, on voudrait être un endroit de convergence des luttes, mais aussi un endroit de joie, en opposition à l’apathie ambiante, qui est préjudiciable pour tout le monde. »
Catherine Makereel, Le Théâtre National occupé par les artistes pour réclamer la réouverture des lieux culturels, dans Le Soir, le 19.03.2021

© Gloria Scorier