Skip to main content
Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Press review

Boudoir

Steven Cohen

C’est ma manière d’expérimenter et d’exprimer ma réalité. Je sais que la différence entre médicinal et toxique réside non seulement dans la substance mais dans le dosage. J’aimerais être modéré mais la modération m’échappe. Comment je vois est ce que je vois.

Marie Baudet, Steven Cohen, artiste hors normes: "L’extrême est mon seul vocabulaire", dans La Libre, le 18.01.2023

 
Chargé d’intimité comme d’universalité, ce boudoir s’apparente à un cabinet de curiosités qui adopte les traits d’un majestueux mausolée.

Christophe Candoni, Boudoir, un musée d’art et de mémoire, dans Sceneweb, le 24.11.2022

 
Une expérience saisissante qui illustre superbement la puissance cathartique de l’art.

Jérôme Provençal, Steven Cohen se met à nu dans son “Boudoir”, dans Les Inrocks, le 21.11.2022

 

Entrer dans LE lieu apparaît comme un cadeau.
Avec Boudoir, il renoue avec ses premiers happenings, il se met au milieu, mais là, un peu plus qu’au milieu. Disons qu’il vient soutenir le regard de chacun dans un costume brillant qui le dévoile en fluorescence. Disons que regarder Steven Cohen en face, droit dans les yeux est très intense.

Amelie Blaustein Niddam, « Boudoir », le monument Steven Cohen se regarde droit dans les yeux, dans Toute la Culture, le 16.11.2022

© Allan Thiebault
Le Rideau de saison, Maak & Transmettre · photo : Lucile Dizier, 2024