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Théâtre National Wallonie-Bruxelles

Persoverzicht

Wakatt / Serge Aimé Coulibaly

©Sophie Garcia

"Au-delà de la performance qui a permis de surmonter obstacles et contraintes, Serge Aimé Coulibaly renouvelle, une fois de plus, une synthèse réussie entre traditions et modernité, entre sonorités et mouvement. Il joue sur de multiples contrastes, ombre et lumière, énergie et apaisement, solos et mouvements d’ensemble, confusion et sérénité, pour contrer certains désirs d’homogénéité culturelle et célébrer l’idée d’un présent (et un futur) partagé, avec des couleurs à foison."
Didier Béclard, Quand s’immisce la peu de l’autre, dans Demandez Le Programme, le 25.09.2020

 

"Comme beaucoup d’artistes, Serge Aimé Coulibaly a été rudement impacté dans son projet par la covid : répétitions écourtées, calendrier bousculé, et crainte de ne pouvoir rassembler ses interprètes venus du Burkina, du Cameroun, d’Italie, d’Allemagne… On n’en est que plus admiratifs de la performance accomplie."
Dominique Mussche, Entre ombre et lumière, harmonie et chaos CRITIQUE***, dans RTBF Culture, le 21.09.2020

 

L'info culturelle de 7h30, Wakatt, Serge Aimé Coulibaly / Rendez-vous avec A, David Tobon, sur Musiq 3 - RTBF Auvio, le 21.09.2020

 

David Courier, LCR – Serge Aimé Coulibaly, sur BX1, le 21.09.2020

 

"People are sometimes afraid of things that may never happen. We convince ourselves of all kinds of things. Due to the projection of our fears, we sometimes live more in a film than in reality"
WAKATT: the past, present, and future of choreographer Serge Aimé Coulibaly, dans BRUZZ

 

La revue de presse, Jimi Hendrix décédé il y a 50 ans / Théâtre : Patricia et Zoo / Wakatt de Serge Aimé Coulibaly, sur Musiq 3 - RTBF Auvio, le 18.09.2020

 

"Le visuel n’est pas en reste, avec l’imposant demi-cercle solaire (ou lunaire) émergeant d’un plateau couvert d’une matière à la fois évanescente et présente à chaque instant, s’invitant dans chaque mouvement. Tourbe, cendre, neige noire. Signés Catherine Cosme, costumes et scénographie épousent la fluidité heurtée de Wakatt, les remous, les unissons, les échappées teintées de désespoir ou d’obstination." 
Marie Baudet, Comment le Covid a modifié la nouvelle pièce de Serge Aimé Coulibaly, dans La Libre, le 17.09.2020

 

"Sous la flûte entêtante de Magic Malik (Malik Mezzadri), qui mène tantôt un groove funky tantôt une mélodie douce au piano à pouces, ils s'enlacent et se repoussent, se provoquent et se méfient. Une nef des fous où apparaît soudain un masque dansant, comme un spectre, pareil à ceux qui se produisent lors des grandes funérailles à Bobo Dioulasso, capitale économique du Burkina et ville natale d'un chorégraphe qui, s'il est allé loin, n'oublie pas d'où il vient."
Le jusqu'au-boutiste, dans Le Vif, le 16.09.2020

 

"Quelle sorte de spectacle peut-on créer pour nourrir l’âme des gens, aller plus loin que la survie ? Wakatt veut essayer de répondre aussi à ça d’une certaine manière. Même si ça n’est pas forcément gai…"
Jean-Marie Wynants, «Wakatt»: une humanité en quête de voies nouvelles, dans Le Soir, le 16.09.2020

© Gloria Scorier