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Théâtre National Wallonie-Bruxelles
Revue de presse

“put your heart under your feet… and walk!”

Steven Cohen

La beauté est un pouvoir et, comme pour toutes les grandes puissances, le pouvoir est dangereux. La beauté est le passeport de l’art, et chaque voyage (qui est ma manière de voir l’art) contient une part de danger. La beauté est à la fois apaisement et provocation, et les deux sont risqués.

Marie Baudet, Steven Cohen, artiste hors normes: "L’extrême est mon seul vocabulaire", dans La Libre, le 18.01.2023

 
Tel un rituel, avec poésie et sensibilité, Steven Cohen nous invite à célébrer avec lui l’amour, et à engager un dialogue avec la mort.

Fanny Guéret, “Put your heart under your feet… and walk !”: hommage à un amour perdu, ode à la vie qui continue !, dans la RTBF, le 09.12.2022

 

Seul en scène, le performeur extériorise et magnifie sa souffrance face à la finitude dans une forme scénique très esthétique et ritualisée.

Christophe Candoni, Un rituel de sang et de cendres pour Elu, dans Sceneweb, le 19.09.2019 

 

La vision de Steven Cohen est toujours une expérience indélébile.

Rosita Boisseau, Danse : Steven Cohen dialogue avec la mort, dans Le Monde, le 18.09.2019 

 

Sur cette scène, vaste champ de signes, il faut admettre qu’on est surtout fasciné par l’artiste lui-même, ou plutôt par la créature fantastique à laquelle il a donné naissance, ce croisement entre une ballerine, un papillon et un bovin, cet être plus grand que nature qu’il incarne avec un rare charisme.

Christian Saint-Pierre, «Put Your Heart Under Your Feet… And Walk!»: dernière scène, dans Le Devoir, le 28.05.2019

 

Le sujet est horrible, mais il ne cherche pas à choquer. Il traite de la perte, de l'affliction, de comment se remettre en mouvement quand on se retrouve pétrifié, telle une pierre.

Boris Senff, Programme Commun vise la performance, dans 24 heures Culture, le 10.03.2018

 

Cette marche est la plus belle déclaration que la voix si fine de Steven Cohen pouvait faire à Elu. Elle est aussi son spectacle le plus merveilleux. Il coupe le souffle, nous pousse au silence, nous invite, chanceux que nous sommes à partager sa peine.

Amélie Blaustein Niddam, Steven Cohen, la mort enchevillée [Montpellier Danse], dans Toute la Culture, le 27.06.2017

© Pierre Planchenault
Le Rideau de saison, Maak & Transmettre · photo : Lucile Dizier, 2024