Genesis
Hakim Bouacha
Face aux déflagrations de l’homophobie, Hakim Bouacha joue de l’autofiction documentée pour mieux conjuguer échelle individuelle et échelle collective – auscultation d’une société dépeinte comme viscéralement homophobe.
Il y a les grands moments de l’existence. Ils sont d’autant plus forts, qu’ils se nichent là où on ne les attend pas. Ils tiennent à une sorte de déplacement plus ou moins violent ou plus ou moins doux, au sentiment de joie, de surprise.
Face aux déflagrations de l’homophobie, Hakim Bouacha joue de l’autofiction documentée pour mieux conjuguer échelle individuelle et échelle collective – auscultation d’une société dépeinte comme viscéralement homophobe.
Dans une approche humaine, Gaia Saitta, invite des spectateur·ices à l’accompagner, donnant ainsi corps à l’histoire, aux émotions d’Irina.
Dans cette nouvelle création, Steven Cohen reçoit dans son Boudoir, un lieu domestique où se reconfigurent les liens entre intimité et politique.
Le requiem bouleversant que propose Steven Cohen s’aventure aux confins du deuil pour s’offrir à son amour perdu en guise de sépulture vivante.
Pipo Delbono compose une symphonie onirique et florale au-dessus de laquelle plane l’esprit de Bobo. Souvenirs, vies vécues, amour, beauté et politique tiennent dans le même bouquet.
Dans une approche humaine, Gaia Saitta, invite des spectateur·ices à l’accompagner, donnant ainsi corps à l’histoire, aux émotions d’Irina.
ANGELA (a strange loop) propose une plongée dans la question phénoménologique de l’identité et de la conscience. Qu’est-ce qui fait qu’Angela est Angela ?
Léa Drouet fait peu à peu apparaître sans jamais le montrer directement, ce point absent de l’enfant qui insiste tout en échappant.