Nouveau format, nouvel outil pour aborder la programmation de manière transversale, les Balises sont des repères théoriques auxquels se raccrochent plusieurs spectacles de la saison.
— Textes de Cécile Michel, illustrations de Mathilde Boussange mathildeboussange.be
Sur un thème vieux comme l’amour, celui de la rupture et de l’effondrement que celle-ci charrie dans son sillon, la virtuose bande d’interprètes survole une avalanche de déséquilibres.
De quoi la mort de Pasolini est-elle le nom ? Dans cette pièce aux allures de répétition générale, quatre interprètes s’inspirent de cet événement tragique du passé pour nous tendre un miroir sur notre époque.
Fabrice Murgia brosse le portrait et le destin tragique de la poétesse américaine Sylvia Plath dans une Création Studio TN entre théâtre et cinéma.
Léa Drouet fait peu à peu apparaître sans jamais le montrer directement, ce point absent de l’enfant qui insiste tout en échappant.
Joël Pommerat se penche sur l’enfance et principalement sur ce point de basculement quand elle glisse vers l’adolescence. Quand les premières interrogations surgissent.
Le premier opus du Raoul Collectif tente de faire la lumière sur ce que pourraient signifier des destins d’individus en lutte radicale avec leurs milieux respectifs, parfois avec la société tout entière.
Un groupe de chroniqueurs radio se réunit autour d’un projet commun : dénicher de la beauté. Le Raoul Collectif nous propose un spectacle ludique et libératoire.
Une cérémonie cherche ses règles et ses formes, hésite sur ses costumes et son protocole. On y devine l’histoire fantasmée d’un groupe en quête d’absolu, trimbalant ses idéaux, ses rêves et ses instruments de musique.
