Présentation
Saison 2025·2026
C'est entouré de l'équipe du Théâtre National que Pierre Thys, Directeur général et artistique, présentera la programmation complète et les grands axes de la saison 2025·2026.
C'est entouré de l'équipe du Théâtre National que Pierre Thys, Directeur général et artistique, présentera la programmation complète et les grands axes de la saison 2025·2026.
Deux fois par mois, Maison Gertrude, centre d'art en maison de repos, ouvre ses portes et vous invite à découvrir sa collection d’œuvres d’art créée in situ (…)
Dans l’arène, pas de compromis : les danseur·ses se confrontent et se défient dans des battles impitoyables.
Une aventure collective qui tisse des liens et fait dialoguer les cultures.
Une chorégraphie foisonnante, magnétique, qui puise aux racines de la forêt et dans les mouvements des peuples en lutte.
Le chef-d’œuvre de Tiago Rodrigues met en scène une famille portugaise, point de départ d’un huis clos sur la montée des dynamiques néofascisantes. Brûlant d’actualité.
Le courage est une flèche qui va droit à la cible. Dans le chaos, le courage est une joie. À l’occasion du spectacle Catarina et la beauté de tuer des fasci (…)
À travers une réécriture libre et fantasque de La Divine Comédie, Justices suit Vincent, artiste porteur du syndrome de Down, dans une quête existentielle à travers les cercles d’un enfer à l’esthétique pop et graphique.
Politique. Artistique. Festif. Subversif. Comme chaque année, le Festival des Libertés mobilise toutes les formes d’expression pour résister, témoigner, rassembler
À travers une réécriture libre et fantasque de La Divine Comédie, Justices suit Vincent, artiste porteur du syndrome de Down, dans une quête existentielle à travers les cercles d’un enfer à l’esthétique pop et graphique.
Cinéaste et artiste serbe, Mila Turajlić a plongé dans les archives uniques des cinématographies de l’ex-Yougoslavie, vestiges d’un pays disparu, pour redonner voix aux aspirations des non-alignés.
Pourquoi l’art s’infiltre-t-il de plus en plus souvent dans le champ du soin ? Comment les institutions culturelles se retrouvent-elles à interroger la vulnérabilité ?
Enfermé·es dans le mythe sécuritaire, nous sommes tous·tes devenu·es malades. Les maladies auto-immunes – dont celle dite des yeux secs – marquent le retournement du sujet contre lui-même.
Scènes nouvelles partage ce qui irrigue le travail, fort et singulier, des artistes belges francophones.
Ausculte avec humour le poids de la mémoire sur nos vies pour révéler, en creux, une époque aux prises avec le retour d’une Histoire qu’elle pensait révolue.
Comment se percevoir dans un monde où le capitalisme façonne le désir et dicte les formes ?
La pluie qui tombe, une crue soudaine, des vies bouleversées. Camille ne parle plus depuis que l'eau a tout emporté : sa maison, ses souvenirs… et son chien, Larry.
Ngân est vietnamienne. Quentin est né à Libramont, dans les Ardennes belges. Rien au départ ne devait les rassembler.
La mission désespérément héroïque ayant tourné au fiasco et tandis que le monde s’effondre autour d’el·leux, i·els se décident à fuir : les voilà bricolant un vaisseau de fortune pour tenter d’atteindre une galaxie inconnue.
Brian est un étudiant renfermé, convaincu d'avoir été victime d'un enlèvement par des étranger·es.
Qu’est-ce qui façonne la mémoire collective d’un pays ? Existe-t-il une identité belge commune ? Que nous révèle l’Histoire de ce territoire sur cel·leux qui l’habitent ?
Un questionnement profond sur l’impunité et la désinformation perpétuelle. Chaque bande d’archives assemblée aux autres donne corps et substance à la dénonciation des crimes de guerre.
Une voiture arrêtée au milieu de nulle part. À l’intérieur, Clara et son frère Félix se retrouvent après une nuit de danse et de fête, après vingt ans de séparation.
Trouvant des points communs à leurs trajectoires parallèles, ils révèlent les non-dits, entre l’affranchissement public et les silences familiaux.
Que se passe-t-il quand l’attente procure davantage de frissons que la révélation elle-même ?
S'il était né en 1982 plutôt qu'en 1182, qui croiserait-il sur sa route ? Et sur le parking du supermarché, quelle crèche réaliserait-il au milieu des poubelles ?
Sur scène, un mur imaginaire se dresse, symbole des séparations et des cicatrices anciennes. Ces fenêtres s’ouvrent sur des souvenirs, des fragments d’histoires.
Ici, les guerrières de l’imaginaire brisent les silences, distordent l’impensable, nous font passer derrière ou de l’autre côté. Ici, les spectateur·ices se rassemblent et lisent à haute voix sur le vif.
Comment la danse peut-elle incarner aujourd’hui l’incandescence de Brel ? BREL cherche à donner une forme nouvelle à la puissance de ce répertoire.
Une cour citoyenne où des personnes de la société civile peuvent s’organiser en force de résistance afin de s’opposer aux violences perpétrées par les états.
À travers cette expérience radicale, Vincent Hennebicq pulvérise les certitudes, nous laissant entrevoir de multiples scénarios. Oser lâcher prise, bifurquer, se laisser guider vers l’impensable : le dé pourrait-il nous révéler ?
Dans un futur proche, les gouvernements en place ont instauré un nouveau jeu mondial, appelé la Grande Chasse.
Une force troublante qui tient à ces silhouettes en perpétuel déséquilibre, s’en remettant à un environnement instable et poétique.
Ici, pas de condescendance, ni de récupération. Portrait de Rita raconte une rencontre et fait résonner une parole crue jamais dénuée d’humour, ni de poésie.
Dans cette nouvelle création, i·els explorent comment et pourquoi elle a été éradiquée et lui redonnent le statut qu’elle mérite.
Bien qu’issues de mondes que tout oppose, Magali Pinglaut et Valérie Bauchau partagent le même amour du théâtre. La pièce est née de cette amitié improbable, presque miraculeuse, qui défie les évidences.
Des profondeurs du théâtre d’enquête émerge un spectacle aussi tentaculaire que captivant. Entre réalité et fiction, Françoise Bloch tisse un récit entre l'intime et le collectif.
Dans un futur proche, les gouvernements en place ont instauré un nouveau jeu mondial, appelé la Grande Chasse.
À travers une réécriture libre et fantasque de La Divine Comédie, Justices suit Vincent, artiste porteur du syndrome de Down, dans une quête existentielle à travers les cercles d’un enfer à l’esthétique pop et graphique.
Les corps s’enchevêtrent, débordent du cadre, se laissent emporter dans un énergique chaos organique
Dans cette nouvelle création, Disanka relie l’histoire du Congo à celle de sa mère, sous la forme d’un kasala, un poème d’éloge de la culture Kasaï à laquelle sa mère appartenait également.
Des banlieues à la scène de théâtre : où notre héritage colonial se dissimule-t-il et comment le révéler ?